
Atlantic Soir (1ère partie)
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Tout le monde se souvient du message publié par le palais de l'Elysées à Paris. "Emmanuel Macron effectuera une visite d’État pour sceller la relance de la relation bilatérale après une longue période de froid", fin de citation. Pour beaucoup d'analystes et d'observateurs politiques, ce serait les 29 et 30 octobre prochains, une période conforme à la lettre d’invitation adressée par SM Mohammed 6 au chef de l’État français. Le Souverain se dit convaincu que cette visite sera "l’occasion de conférer au partenariat bilatéral d’exception une vision renouvelée et ambitieuse dans plusieurs secteurs stratégiques". Avec nous au bout du fil, nous sommes avec Driss Aissaoui, analyste politique. Au delà de l'aspect politique et diplomatique des enjeux, la dimension économique est loin d'être négligée. Avec nous, Mme. Boutaina Bensalem, professeure d'histoire et de sciences politiques à l'université Soltane Moulay Slimane de Beni-Mellal .
C'est le premier rapport du genre dans le second mandat du Conseil Supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique l’institution. La période est de 2022 à 2027. Ce document est présenté au lendemain de la pandémie du Covid-19, du séisme d'el-Haouz il y'a un an et les mouvements de grèves successives du corps enseignant dans le secteur public. L'école marocaine en crise. De l’empilement des réformes à la situation précaire des enseignants, en passant par les grèves continues des enseignants. On en parle avec Hassan Esmili, ancien Directeur du pôle Etudes et recherches au Conseil supérieur de l'éducation et ancien doyen fondateur de la faculté des lettres et des sciences humaines de Ben-Msik.Pourquoi ça ne décolle toujours pas ? C'est ce que va nous dire Ali Daoudi, membre du Bureau national de l'enseignement, affilié au syndicat CDT.